L’âme se débat
Le souffle hésite
Le corps se fige
Mais le cœur bat
Un soleil glorieux, empourpré
Émerge du golfe tout blanc
Sous un ciel rayé de nuages
Un camaïeux de rose doré
Et je pleure
L’âme se débat
Le souffle hésite
Le corps se fige
Mais le cœur bat
Le Magnolia offre sa fleur
Coupe de parfums blancs
Pétales de doigts satinés
Parmi ses feuilles de cuir
Et je pleure
L’âme se débat
Le souffle à bout
Le corps figé
Mais le cœur bat
Les Ixias blancs et élancés
Dansent une berceuse synchronisée
Sur la pointe des pieds
A la lumière du jour enjouée
Et je pleure
L’âme se débat
Le souffle a peine
Le corps figé
Mais le cœur bat
Les joues gris blanc creusées
Les draps trop blancs aseptisés
Les mains bleu blanc lisses et tachées
Les lèvres ouvertes et grises
Je pleure
L’âme s’éteint
Le souffle manque
Le corps gisant
Le cœur s’arrête.
Désolé, cherie.
Mon coeur est la, avec toi.
Les vitesses changeront.
Restes tranquille.
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Merci. J’aimerais etre sur un bateau et vaguer sur les flots bleus jusqu’a ce qu’il touche le ciel et dormir longtemps en securite.
Rester tranquille c’est dur.
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😦
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Yes. Thank you John.
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Hi Emm,
You’re beyond the realm of my poor knowledge of the language, and my translator gives me little help. Help ?
Paul
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Hi Paul, Just for you, well no, not really just for you but for all my friends blogger who care and hold my hand. the translation/interpretation follows.
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J’eprouve une peine indiscible a ce poem… Heureusement qu’il y a Eros avec les fleurs…
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Merci Michal. Oui, Eros, les fleurs et le temps.
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I love the picture and enjoyed reading the poem out loud. Somehow it didn’t really matter that I couldn’t understand what the words meant. The intonation and rhythm was great!
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Now that makes me smile and makes my day. Thank you.
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